vendredi 17 juillet 2009

Vendredi 17 Juillet

Il est à craindre que, métaphysiquement, l'Homme ne soit condamné à la branlette (et mon blog avec, et tout à fait pragmatiquement).

6 commentaires:

Chr. Borhen a dit…

Onan le barbare.

A deux mains a dit…

Pernettez moi une citation :" J'ai toujours la fâcheuse impression que je suis incapable d'exprimer par les mots ce que j'aimerais être capable de ressentir pleinement par les sens.
Comment être dans l'instant, et comment écrire cet instant ? Comment être à la hauteur du réel ? Comment ne pas rendre banal quelque chose qui ne l'est pas mais qui, écrit, pourrait tendre à l'être ? Comment faire vivre par des mots qui appartiennent à tout le monde des émotions qui n'appartiennent qu'à moi - car les émotions ne se partagent jamais, c'est là leur drame, et c'est là leur grandeur - ?"

Pascal Labeuche a dit…

"A deux mains", tout d'abord, vous avez raison : une seule n'y suffirait pas.
Ensuite, vous avez une sacrée culture, pour nous avoir déniché citation pareille. Mais je ne sais trop quel sens donner à cette mise en perspective...

Mère spective a dit…

Une mise en échos, une actualisation, j'avoue être agacée par l'Archivage et l'aspect consensuel de la chronocratie.
Ces blogs sont d'un conformisme! Epatez moi,Pascal!
J'aimerai attendre.

Pascal Labeuche a dit…

Je crains que vous n'attendiez longtemps...

Mére spective a dit…

Oublier l'époque révolue où être craintif et impatient allait sans dire et coulait de source.