vendredi 31 juillet 2009

Vendredi 31 Juillet

Aujourd'hui je ne peux pas. Désolé.

15 commentaires:

Silencieuse a dit…

À vous lire ailleurs, vous paraissez souffrir d'une belle névrose de classe, non ?

Madame a dit…

Je souhaite qu'il vous plaise de les faire terre. TOUS !

Il me plait que les Vendredis durent.

N'est ce pas attendre que de savoir rester TROIS JOURS ET TROIS NUITS sans écrire ?

Et si vous aimiez attendre ?



> désolé ?
1/ endroit: désert, sauvage, déserté, vide, pauvre, stérile, dépeuplé, abandonné, inhabité, désertique, sinistre, inhospitalier.
2/ ennuyé: fâché, navré, peiné, ulcéré, en colère, exaspéré, agacé, indigné, irrité, furieux, hors de soi, contrarié, mécontent, attristé, chagriné, malheureux, éprouvé, frappé, pitoyable, piteux, désespéré, triste, confus, déconcerté, embarrassé, gêné, penaud, honteux.
3/ être désolé: regretter, désapprouver, déplorer, se repentir, s'en vouloir, s'excuser, avoir des remords, se reprocher, être contrarié, être navré, s'attrister.

Sentiment inuit !

http://www.youtube.com/watch?v=1Jt1FlO_nH8&hl=fr

Pascal Labeuche a dit…

Silencieuse : pas simplement de classe. C'est sympolique, presque, la classe sociale, dans cette affaire. Mais enfin le comportement de certains me blesse énormément.
Et ce qui est le plus blessant, presque, c'est de ne pas comprendre ce que j'exprime et ressens et se permettre quand même de raconter n'importe quoi à mon sujet. Je ne suis pas un courtisan, moi, je n'ai aucune arrière-pensée, je ne comprends pas qu'on ne me réponde pas quand je suis bienveillant et qu'on se serve de moi pour justifier des décisions et sentiments dont je ne suis en rien responsable. C'est tout.
Quoique ce n'est jamais tout. Pourquoi tant d'animosité contre moi sur cette SLRC ? Ces gens qui n'ont jamais été foutus de produire la moindre analyse sur Camus et qui se permettent de dire qu'ils en ont marre de moi ? Et ceux qui me foutent sur le dos leur silence, leur départ ou je ne sais quoi alors que c'est après Camus ou d'autres qu'ils en ont ?
Qui ai-je dépossédé sur ce forum ? Quel pouvoir cherché-je ? Cela n'a aucun sens.
Névrose de classe ? Lucidité : tous ces gens se connaissent, se tapent dans le dos, chuchottent entre eux et moi, j'arrive, avec mes gros sabots certes mais sans couteau, et on se fout de ma gueule. Pas tout le monde bien sûr, non non non, mais enfin, je peux dire sincèrement que j'estimais beaucoup tous les intervenants de la SLRC. Alors après, voir ça...
Mais je ne labeuchiserai plus sur ce forum. J'ai fait ça, la dernière fois, pour essayer de provoquer un regain de vitalité, ça a foiré (même s'il y a eu quelques réponses, contrairement à tous les messages que j'envoie et qui ne parlent que de littérature et pas de ma gueule), je vais me préserver, désormais.
Je ne serai jamais de ce monde.

Silencieuse a dit…

Qu'est-ce qui vous touche tant dans cette histoire ?
Si vous avez des choses à dire, dites-les. Peu importe les réponses ou commentaires (que vous percevez comme chargés de jugement ou d'a-priori) qui suivent, les absences de réactions (que vous considérez comme du mépris) : ce n'est pas cela que vous recherchez.

Pascal Labeuche a dit…

Madame : les trois sens me correspondent.
Et je déteste attendre, ne vous y trompez pas. Mais il faut bien grandir un peu.

Silencieuse : ce qui me touche tant ? L'échec. Et être pris pour un autre.

Silencieuse a dit…

De quel échec parlez-vous ?
Sur quoi fondez-vous le sentiment que vous êtes pris pour un autre ?

Pascal Labeuche a dit…

L'échec de ne pouvoir m'extraire de mon milieu d'origine, la claire conscience de l'inexorabilité du temps (soit de mon destin), l'échec à ne pas pouvoir être apprécié dans un milieu littéraire.
Je suis pris pour un autre quand Pellet parle de moi tel qu'il le fait, par exemple, ça oui, ou même, et surtout Camus, concernant ma critique de "L'Isolation". Ca c'est certain, ce n'est pas de moi qu'il s'agit.

Silencieuse a dit…

J'aimerais poursuivre cet échange mais en privé et si vous le souhaitez.

Pascal Labeuche a dit…

Aucun problème, avec plaisir, même : ciolineski@yahoo.fr. Pas avant ce soir, par contre, si vous n'y voyez pas d'inconvénient : j'ai ma vie domestique et un train qui m'attendent pour quelques heures !
A ce soir j'espère.

Madame a dit…

N'attendez-plus!
Dans votre cas je prendrais ces synonymes un par un et j'expliquerais en quoi ils me correspondent.

Vous savoir ce soir un écrivain privé ne me désole pas.

Je suis passionnée par ces mystèrieuses frontières...privées.
Réinventons-nous des fortifications qu'il nous faudra
défendre ou acheter ?

"Ce qu'il y là" ne le cachez
pas derrière Renaud Camus ou d'autres.

Sortez ! Ditez-nous votre
exaspération et votre saturation.

Que La silencieuse vous
donne la parole.

Pascal Labeuche a dit…

Que c'est compliqué, ces pseudonymes...
Mais je vous remercie, et c'est sincère.
Sortir, oui, sortir.
Mais c'est dur, putain ! Car il ne s'agit pas que de sortir, il faut donner une forme, à toute cette tripaille qui sort.
Et un blog peut-il être le cadre pour cela ?

Madame a dit…

Les blogs sont tripailles à cadrer.
La forme,le cadre c'est vous.
Les blogs sont là pour qu'on déblogue.

Supprimez les commentaires sauf les jours impairs, une fois sur six, un mois sur deux...Tamisez votre farine comme un boulanger.



Votre milieu c'est la grande classe !

La forme,le cadre c'est vous.

Imposez votre sincérité. C'est elle que je sens juste.

Georges de La Fuly a dit…

« Imposez votre sincérité ». Je voudrais pas faire mon casse-couilles, mais je recevrais un message comme ça, moi, je me suiciderais immédiatement.

Anonyme a dit…

Finalement je vous retrouve ici cher Georges, chez Pascal L. Cela me fait doublement plaisir : et que vous ayez recommencé à tenir votre "blog"
(quel mot laid... ) et que se trouve ici un espace de discussion, initié par vous, cher Pascal.
Anna R.

Pascal Labeuche a dit…

Mais vous ne me cassez pas les couilles, Fulybard, et puis j'aime bien Madame (même si j'aime pas les pseudos qui ne permettent pas de connaître l'identité), et puis je suis pas suicidaire.
Anna, vous ici ?! Alors ça ! Vous appréciez Georges, alors... Tous ces chemins qui se recoupent, et ici !