J'ai certainement complètement tord d'écrire ici puisque vous nous avertissez, un peu plus bas : "Tout d'abord, je suis, là, sur mon blog et donc, j'emmerde d'emblée toute personne qui pourrait se dire et me dire : « Oh là là ! il est encore en train de se lamenter sur son sort..." et que je n'aime pas beaucoup qu'on m'avertisse de cette manière. Vous vous plaignez un peu partout, cet "un peu partout" qui m'a amené ici, d'être méprisé et quand on vous répond, ça ne vous convient pas : "Si encore ce que j'y écrivais était nul, je comprendrais. Mais j'ai beau me relire, je ne trouve pas ça nul du tout". EF a, de mon point de vue, excellement répondu à votre billet sur la prétendue boulimie camusienne ; votre analyse sur la logorrhée, le vidage, le vomi etc n'était pas "nul" mais déplaisant et, quoique vous en pensiez, pas très intéressant. Vous aimez intervenir tout le temps (dix fois par jour ou par heure, vous étonnant que l'on ne réagisse pas, intimant celui-ci ou celui-là de vous répondre) mais ne vous apercevez-vous pas que c'est fatigant, qu'on vous lit parfois en se disant qu'on ne nous y reprendra plus, que le forum est encore devenu impossible, qu'on reviendra plus tard quand P. Labeuche se sera assagit ? Mais il n'y a rien à faire, vous annoncez votre sortie et vous êtes de nouveau là et à vous lamenter, qui plus est, de la désertion de chacun. Vous êtes parfois touchant, vore découverte et votre admiration de Renaud Camus vous valent toute la sympathie de certains et la mienne aussi, mais c'est une sympathie embarassée et qui vous aimerait moins envahissant.
Pascale : votre commentaire me fait extrêmement rire !!! Vous venez vous plaindre que P Labeuche est partout mais vous êtes là !!! à le lire !!! J'avoue ne pas comprendre. Cherchez vous le bâton pour vous faire battre ? Vous n'allez tout de même pas lui reprocher d'être là aussi ? Sur son propre blog ?
Vous n'aimez pas ses analyses et alors ? Passez votre chemin... Je suppose que vous êtes une de ces cerbères de la SLRC donc restez y car nous ici on apprécie les analyses et les jeux de mot de Monsieur Labeuche.
Pascal : ne faites pas attention à ce genre de commentaire. Continuez car moi cela m'intéresse (même si je ne met pas forcément un commentaire).
Tout d'abord, merci pour votre sincérité. J'arrêterai là les remerciements.
Prenons point par point : - Je n'ai jamais écrit sur la boulimie de Camus, mais sur l'exacerbation que "L'Isolation" nous propose d'un système de remplissage-vidage pour parvenir à vivre et à écrire. Inintéressant ? « C'est intéressant mais trop gentil. » Cette phrase est de VS et concerne mon analyse, vous pouvez vérifier sur son blog. Vous trouvez cela déplaisant ? Mais je n'écris pas pour plaire (ni pour déplaire), je ne suis, contrairement à bien d'autres sur ce forum, pas un courtisan. - J'interviens trop ? "On" interviendra quand j'interviendrai moins ? Tout d'abord, plusieurs personnes m'ont écrit (je ne vous dirai pas lesquelles, cela vous minerait trop)personnellement pour me remercier de l'avoir fait revivre. Ensuite, n'est-il pas lâche de mettre ses propres déficiences sur mes épaules (qui sont larges, mais tout de même)? Rien ne vous empêche, absolument rien, d'y écrire, et vous serez lue, quand bien même j'y enverrais dix messages par heure, ce qui d'ailleurs est faux, mais passons. Vous ne pouvez nier que j'ai proposé des dizaines d'analyses de l'oeuvre de Camus, quand d'autres se contentent d'annoncer une émission de radio. -Vous voulez donc ma peau (sur la SLRC bien sûr). Mais quelle est votre légitimité pour cela ? Et arrétez ce "on", je vous prie, osez parler en votre nom, assumez "je", ça ne vous rendra pas moins forte (ou bien dîtes au nom de qui vous parlez).
J'aurais préféré que vous postiez ce commentaire sur la SLRC, puisque ce commentaire n'a rien à voir avec mon billet. Me permettriez-vous de l'y faire connaître ? (sachant que je pourrais le faire sans vous demander votre avis, ce blog étant d'accès public)
En relisant mon message je vois que je commençais par "J'ai certainement tord" et en effet j'ai eu tord de vous manifester mon petit agacement, tord aussi de venir jusqu'ici. Je vous ai lu et vous m'avez parfois amusée et parfois agacée mais ça n'a pas tellement d'importance. Mais surtout je ne vous veux aucun mal et n'avais aucune intention d'être méchante comme vous dîtes. Je lis les interventions sur le forum avec intérêt ou lassitude selon les moments et en effet, contrairement à certains, je n'y apporte rien. Pascale G.
9 commentaires:
J'ai certainement complètement tord d'écrire ici puisque vous nous avertissez, un peu plus bas : "Tout d'abord, je suis, là, sur mon blog et donc, j'emmerde d'emblée toute personne qui pourrait se dire et me dire : « Oh là là ! il est encore en train de se lamenter sur son sort..." et que je n'aime pas beaucoup qu'on m'avertisse de cette manière. Vous vous plaignez un peu partout, cet "un peu partout" qui m'a amené ici, d'être méprisé et quand on vous répond, ça ne vous convient pas : "Si encore ce que j'y écrivais était nul, je comprendrais. Mais j'ai beau me relire, je ne trouve pas ça nul du tout". EF a, de mon point de vue, excellement répondu à votre billet sur la prétendue boulimie camusienne ; votre analyse sur la logorrhée, le vidage, le vomi etc n'était pas "nul" mais déplaisant et, quoique vous en pensiez, pas très intéressant. Vous aimez intervenir tout le temps (dix fois par jour ou par heure, vous étonnant que l'on ne réagisse pas, intimant celui-ci ou celui-là de vous répondre) mais ne vous apercevez-vous pas que c'est fatigant, qu'on vous lit parfois en se disant qu'on ne nous y reprendra plus, que le forum est encore devenu impossible, qu'on reviendra plus tard quand P. Labeuche se sera assagit ? Mais il n'y a rien à faire, vous annoncez votre sortie et vous êtes de nouveau là et à vous lamenter, qui plus est, de la désertion de chacun.
Vous êtes parfois touchant, vore découverte et votre admiration de Renaud Camus vous valent toute la sympathie de certains et la mienne aussi, mais c'est une sympathie embarassée et qui vous aimerait moins envahissant.
Pascale : votre commentaire me fait extrêmement rire !!!
Vous venez vous plaindre que P Labeuche est partout mais vous êtes là !!! à le lire !!! J'avoue ne pas comprendre. Cherchez vous le bâton pour vous faire battre ?
Vous n'allez tout de même pas lui reprocher d'être là aussi ? Sur son propre blog ?
Vous n'aimez pas ses analyses et alors ? Passez votre chemin...
Je suppose que vous êtes une de ces cerbères de la SLRC donc restez y car nous ici on apprécie les analyses et les jeux de mot de Monsieur Labeuche.
Pascal : ne faites pas attention à ce genre de commentaire. Continuez car moi cela m'intéresse (même si je ne met pas forcément un commentaire).
Madame Gilbert,
Tout d'abord, merci pour votre sincérité. J'arrêterai là les remerciements.
Prenons point par point :
- Je n'ai jamais écrit sur la boulimie de Camus, mais sur l'exacerbation que "L'Isolation" nous propose d'un système de remplissage-vidage pour parvenir à vivre et à écrire. Inintéressant ? « C'est intéressant mais trop gentil. » Cette phrase est de VS et concerne mon analyse, vous pouvez vérifier sur son blog. Vous trouvez cela déplaisant ? Mais je n'écris pas pour plaire (ni pour déplaire), je ne suis, contrairement à bien d'autres sur ce forum, pas un courtisan.
- J'interviens trop ? "On" interviendra quand j'interviendrai moins ? Tout d'abord, plusieurs personnes m'ont écrit (je ne vous dirai pas lesquelles, cela vous minerait trop)personnellement pour me remercier de l'avoir fait revivre. Ensuite, n'est-il pas lâche de mettre ses propres déficiences sur mes épaules (qui sont larges, mais tout de même)? Rien ne vous empêche, absolument rien, d'y écrire, et vous serez lue, quand bien même j'y enverrais dix messages par heure, ce qui d'ailleurs est faux, mais passons. Vous ne pouvez nier que j'ai proposé des dizaines d'analyses de l'oeuvre de Camus, quand d'autres se contentent d'annoncer une émission de radio.
-Vous voulez donc ma peau (sur la SLRC bien sûr). Mais quelle est votre légitimité pour cela ? Et arrétez ce "on", je vous prie, osez parler en votre nom, assumez "je", ça ne vous rendra pas moins forte (ou bien dîtes au nom de qui vous parlez).
J'aurais préféré que vous postiez ce commentaire sur la SLRC, puisque ce commentaire n'a rien à voir avec mon billet.
Me permettriez-vous de l'y faire connaître ? (sachant que je pourrais le faire sans vous demander votre avis, ce blog étant d'accès public)
En relisant mon message je vois que je commençais par "J'ai certainement tord" et en effet j'ai eu tord de vous manifester mon petit agacement, tord aussi de venir jusqu'ici. Je vous ai lu et vous m'avez parfois amusée et parfois agacée mais ça n'a pas tellement d'importance. Mais surtout je ne vous veux aucun mal et n'avais aucune intention d'être méchante comme vous dîtes. Je lis les interventions sur le forum avec intérêt ou lassitude selon les moments et en effet, contrairement à certains, je n'y apporte rien.
Pascale G.
Pascale, elle est vraiment tordante.
J'ai supprimé le message de M. Tison à sa demande, il ne s'agit pas de censure.
Ma parole, il se passe des choses ici ! Ça bouge là-bas aussi, quel miracle !
Le tord, c'est quoi, bordel, on ne me dit jamais rien, à moi !
Enregistrer un commentaire