En quoi suis-je à ce point détestable ?
C'est curieux, Internet : ça m'a appris que j'étais détestable.
Alors je me pose une question : Est-ce bien de moi qu'il s'agit ? Car, Dieu merci, je n'attire pas cette haine dans la vie réelle, dans mes rapports quotidiens.
Je serais déjà mort, sinon.
08/04/16
Il y a 8 ans
18 commentaires:
Si vous vous regardiez un peu moins le nombril et si vous ne mettiez pas toujours dans le rôle de la victime, vous seriez beaucoup moins détestable !!!
Sans l'anonymat, c'eût été préférable.
Je vous reconnais bien : il faut toujours qu'on fasse ce que bon vous semble. Cela ne marche pas avec moi !
Vous semblez être en effet d'une témérité à toute épreuve...
Je pourrais tout a fait vous retourner cela. Faites vous preuve de témérité, selon vous, parce que vous "osez" (toujours selon vous) dire des choses ? Mais tout ce que vous faite est fait pour attirer l'attention des autres.
Et bien Monsieur Labeuche je vois qu'on vient à nouveau vous attaquer sur votre propre blog...
Je n'ai jamais prétendu faire preuve de témérité. Je me fous d'oser dire des choses.
Mais je suis très étonné : si tels sont vos sentiments à mon égard, pourquoi donc venez-vous ici ? Et anonymement ?
Allez, Beuchounet, conduis-toi enfin comme un homme, bordel !
Je suis là car j'aime ce que vous écrivez quand vous ne vous plaigniez pas. Et de manière anonyme car nous ne nous connaissons pas donc à quoi cela vous servirait de connaitre mon nom.
Georges : qu'est-ce à dire ?
Anonyme : je ne connais aucun de mes commentateurs. Si chacun d'entre eux tenait votre raisonnement concernant l'anonymat, on ne comprendrait plus rien.
Rien. Couché !
Georges : Ce n'est pas très gentil. Et je regrette : je n'ai pas accès à votre profil.
Ah si, ça y est, je peux y accéder ! J'en frétille de la queue ! Wouaf wouaf !
Quelle chance vous avez Beuchy !
Oh, il se ne se rend pas encore compte de la chance qu'il a. Ça viendra.
Labeuche, vous avez mon soutien entier pour virer les anonymes de votre blog à coup de pompes dans le cul.
Je vous en sais gré, Cher Jérôme.
Ah non, eh ! Ici je suis Georges. Jérôme est mort la semaine dernière je crois.
Paix à son âme.
Enregistrer un commentaire